Transition des services de police
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Aperçu et lancement de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
- Institution fédérale
- Gendarmerie royale du Canada
- Responsable de l'institution fédérale ou son représentant au titre de l'article 10 de la Loi sur la protection des renseignements personnels
- Danielle Golden
Directrice de la Protection des renseignements personnels
Sous-direction de l'accès à l'information et de la protection des renseignements personnels - Cadre supérieur responsable de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
- Alison Whelan
Sous-ministre adjointe principale de la Réforme, de la Reddition de comptes et de la Culture - Nom et description du programme ou de l'activité de l'institution fédérale
- Services de police contractuels, Transitions de la police
- Fondements législatifs du programme ou de l'activité
- Loi sur la Gendarmerie royale du Canada
Alinéa 8(2)a) et alinéa 8(2)f) de la Loi sur la protection des renseignements personnels - Fichiers de renseignements personnels standard ou propres à l'institution
- Dossier opérationnel : GRC PPU 005
Services d'aide aux victimes : GRC PPU 139
Services des sciences judiciaires et de l'identité et Services canadiens d'identification criminelle en temps réel : GRC PPU 030
Description du projet, de l'initiative ou du changement
La Gendarmerie royale du Canada (GRC) offre des services de police contractuels aux trois territoires et à huit provinces, ainsi qu'à 150 municipalités et collectivités des Premières Nations, dans le cadre d'ententes sur les services de police d'une durée de 20 ans.
Les ententes en vigueur devraient prendre fin le 31 mars 2032. Les ententes contiennent des dispositions qui permettent à l'une ou l'autre des parties de mettre fin aux services de police contractuels le 31 mars de chaque année civile, à condition qu'un préavis suffisant de 24 mois soit fourni; elles permettent également de modifier les limites géographiques avec un préavis d'un an. Les parties à ces ententes sont le gouvernement du Canada et soit une province, un territoire ou une municipalité. Dans le cadre de ces ententes, les parties conviennent également de coopérer et de s'entraider pour assurer une transition harmonieuse des services de la GRC vers d'autres services de police autorisés par la province ou le territoire à exercer les pouvoirs et les fonctions d'application de la loi.
Ces dernières années, un certain nombre de municipalités ont fait part de leur intention de mettre fin à leurs ententes de services de police avec le gouvernement du Canada et de créer de nouveaux services de police municipaux, dont la ville de Surrey, en Colombie-Britannique, et la ville de Grande Prairie, en Alberta. Dans d'autres administrations, des changements aux frontières géographiques modifient les zones desservies par la GRC. Par exemple, une modification des limites des services de police à Terre-Neuve-et-Labrador, ainsi que des changements de frontières et de population entraînés par des réformes municipales au Nouveau-Brunswick ont mené à la transition de certains secteurs géographiques à d'autres services de police provinciaux ou municipaux établis.
Dans le contexte d'une transition des services de police de la GRC vers un autre service de police, les responsabilités et obligations en ce qui a trait aux services de police et aux enquêtes passent de la GRC à l'autre service de police, tout comme les dossiers de police portant sur des enquêtes en cours ainsi que tous les éléments de preuve recueillis. Le transfert de dossiers de police en cours implique la divulgation des renseignements personnels et des pièces à conviction qu'ils contiennent. Ces renseignements personnels sont répartis dans plusieurs fichiers de renseignements personnels comme les dossiers opérationnels, les services d'aide aux victimes, le registre national des délinquants sexuels, les services des sciences judiciaires et de l'identité et les Services canadiens d'identification criminelle en temps réel. Toutefois, seuls les dossiers opérationnels ouverts et pertinents de la GRC seront transmis au nouveau service de police compétent dans le cadre de cette initiative, ce qui limitera dans la mesure du possible la divulgation de renseignements personnels.
Cette évaluation a pour but de faciliter la transition d'un service de police de la GRC à un autre service de police de sorte à protéger la continuité des opérations policières tout en assurant la sécurité des agents de police et du public et en respectant à la fois la compétence provinciale en ce qui a trait aux services de police et les cadres législatifs et opérationnels régissant les activités de la GRC.
Objectif et portée de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
L'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée a été entreprise pour s'assurer que la GRC respecte les obligations que lui impose la Loi sur la protection des renseignements personnels en ce qui a trait à la divulgation de renseignements personnels au cours d'une transition et pour mitiger convenablement les risques d'atteinte à la vie privée associés à toute divulgation.
Analyse de la protection de la vie privée
Sur la base de son évaluation, les incidences sur la protection de la vie privée des transitions de services de police devraient être modérées. Une fois pleinement adoptées, les recommandations découlant du processus d'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée devraient réduire ces risques à un niveau de risque acceptable. La GRC gère les répercussions possibles sur la vie privée des particuliers à l'aide de mesures juridiques, stratégiques et techniques ayant pour but de protéger leurs renseignements personnels et de prévenir les atteintes à la vie privée.
Détermination et catégorisation des secteurs de risque
A) Type de programme ou d'activité
Les renseignements personnels sont utilisés à des fins d'enquête et d'application de la loi dans un contexte pénal (c'est-à-dire les décisions pouvant conduire à des accusations/sanctions pénales ou à l'expulsion pour des raisons de sécurité nationale ou d'application de la loi au pénal).
Niveau de risque pour la vie privée : Élevé
B) Type de renseignements personnels recueillis et contexte
Les renseignements personnels de nature délicate, y compris les profils détaillés, les allégations ou les soupçons, les échantillons de substances corporelles ou le contexte des renseignements personnels, sont de nature particulièrement délicate.
Niveau de risque pour la vie privée : Élevé
C) Partenaires du programme ou de l'activité
Avec d'autres institutions ou une combinaison des gouvernements fédéral, provinciaux ou territoriaux et municipaux.
Niveau de risque pour la vie privée : Modéré
D) Durée du programme
Chaque transition représente une activité ponctuelle et à court terme.
Niveau de risque pour la vie privée : Modéré
E) Personnes concernées par le programme
L'utilisation des renseignements personnels par le programme à des fins administratives externes aura une incidence sur certaines personnes.
Niveau de risque pour la vie privée : Modéré
F) Technologie et vie privée
- L'activité ou le programme nouveau ou ayant subi des modifications importantes comprend-il la mise en œuvre d'un nouveau système électronique ou l'utilisation d'un logiciel ou d'une d'application, y compris un collecticiel (ou logiciel de groupe), afin de créer, de recueillir ou de traiter des renseignements personnels à l'appui du programme ou de l'activité?
- Risque pour la vie privée : Non
- L'activité ou le programme nouveau ou ayant subi des modifications importantes nécessite-t-il la modification d'anciens systèmes des technologies de l'information?
- Risque pour la vie privée : Non
- L'activité ou le programme nouveau ou ayant subi des modifications importantes comprend-il la mise en œuvre de nouvelles technologies ou une ou plusieurs des activités suivantes :
-
- Méthodes d'identification améliorées
- Risque pour la vie privée : Non
- Surveillance
- Risque pour la vie privée : Non
- Analyse automatisée des renseignements personnels, mise en correspondance des renseignements personnels et techniques de découverte de connaissances
- Risque pour la vie privée : Non
Niveau de risque pour la vie privée : Faible
G) Transmission des renseignements personnels
Le transfert de tous les fichiers à transmettre sera effectué conformément aux politiques de la GRC en matière de sécurité. En outre, les renseignements seront stockés dans le système de gestion des dossiers du service de police destinataire qui est conforme à la procédure de la GRC régissant le partage de données relatives aux services de police avec d'autres organismes.
Niveau de risque pour la vie privée : Modéré
H) Risque de répercussions sur la personne ou l'employé en cas d'atteinte à la vie privée
Bien que le risque d'atteinte à la vie privée soit minime compte tenu des mesures de sécurité mises en place par la GRC, il est probable qu'une personne citée dans une enquête de police en cours puisse subir une atteinte à la réputation, un embarras ainsi qu'un préjudice financier et un préjudice physique potentiel compte tenu de la nature des renseignements contenus dans les dossiers de police ouverts et des liens avec l'activité criminelle.
La GRC reconnaît la nécessité d'assurer l'intégrité des données, non seulement à des fins de continuité et d'enquête, mais aussi pour minimiser les répercussions potentielles sur la vie privée d'une personne. À cette fin, toutes les personnes de la GRC qui travaillent avec ces renseignements reçoivent une formation sur les principes de base de la Loi sur la protection de la vie privée et sur la nécessité de protéger convenablement les renseignements personnels contre toute divulgation non autorisée. De même, le service de police destinataire aura une responsabilité équivalente en matière de protection des renseignements personnels en vertu des lois provinciales/territoriales afin de minimiser le risque d'atteinte à la vie privée. Les procédures de l'autre service de police en matière de traitement des renseignements personnels, conformément à leur législation provinciale respective, seront décrites dans un protocole d'accord avec la GRC préalablement au transfert des dossiers opérationnels.
Niveau de risque pour la vie privée : Modéré
Police Transition
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Overview and privacy impact assessment initiation
- Government institution
- Royal Canadian Mounted Police
- Head of the government institution or delegate for section 10 of the Privacy Act
- Danielle Golden
Director of Privacy
Access to Information and Privacy Branch - Senior official or executive responsible for the privacy impact assessment
- Alison Whelan
Senior Assistant Deputy Minister Reform, Accountability and Culture Sector - Name and description of the program or activity of the government institution
- Contract Policing - Police Transitions
- Legal authority for the program or activity
- Royal Canadian Mounted Police Act
Section 8(2)(a) and Section 8(2)(f) of the Privacy Act - Standard or institution specific personal information bank
- Operational Case Records: RCMP PPU 005
Victim Services: RCMP PPU 139
Forensic Science and Identification Services and Canadian Criminal Real Time Identification Services: RCMP PPU 030
Description of the project, initiative or change
The Royal Canadian Mounted Police (RCMP) provides contract policing services to the three territories and eight provinces, as well as 150 municipalities and First Nations communities, under 20-year Police Service Agreements.
The current agreements are all set to expire on March 31, 2032. The agreements contain provisions that permit either party to terminate the policing contract on March 31 of any calendar year, provided sufficient notice of 24 months is provided; and allow for changes to geographic boundaries with one-year notice. Parties to these agreements include the Government of Canada, and either a province, territory, or municipality. As part of these agreements, parties also agree to cooperate and assist each other to affect an orderly transition of service from the RCMP to such other police services authorized by the Province or Territory to carry out the policing powers and duties.
In recent years, a number of municipal jurisdictions have indicated their intention to end their police service agreements with the Government of Canada and establish new municipal police services, namely the City of Surrey, British Columbia and the City of Grande Prairie, Alberta. In other jurisdictions geographic boundary changes are shifting the jurisdiction of the RCMP, for example, a change in policing boundaries in Newfoundland and Labrador, and boundary and population changes driven by municipal reforms in New Brunswick, resulting in a transition of specific geographical areas to other established provincial or municipal police services.
In the context of a transition of policing services from the RCMP to another police service, responsibility and accountability for policing and investigations shifts from the RCMP to the other police service, and along with it the police files associated with open investigations along with all evidence collected. The transfer of open police files involves the disclosure of the personal information and exhibits contained therein. This personal information falls into several personal information banks, such as operational case records, victim services, national sex offender registry, Forensic Science and Identification Services and Canadian Criminal Real Time Identification Services; however, in the context of this initiative, only open and relevant RCMP operational files will be handed over to the new police of jurisdiction, limiting the disclosure of personal information to the extent possible.
The objective of this activity is facilitate the transition of policing services from the RCMP to another police service in a manner that protects the continuity of police operations while ensuring police officer and public safety, all the while respecting both provincial jurisdiction for policing and the legislative and operational frameworks within which the RCMP operates.
Purpose and scope of the privacy impact assessment
The objective of the privacy impact assessment is to ensure that the RCMP meets its legal obligations under the Privacy Act in relation to its disclosure of personal information during a transition, and to ensure that privacy risks associated with any disclosures are appropriately mitigated.
Privacy analysis
Based on its assessment, privacy impacts associated to policing transitions are expected to be moderate. Recommendations from the privacy impact assessment processed, once fully adopted are expected to reduce those risk to an acceptable level of risk. Potential impacts on the privacy of individuals are managed by the RCMP through appropriate legal, policy and technical measures geared at the protection of personal information and prevention of potential breaches.
Risk area identification and categorization
A) Type of Program or Activity
Personal information is used for investigations and enforcement in a criminal context (for example, decisions may lead to criminal charges/sanctions or deportation for reasons of national security or criminal enforcement).
Level of risk to privacy: Elevated risk
B) Type of Personal Information Involved and Context
Sensitive personal information, including detailed profiles, allegations or suspicions and bodily samples, or the context surrounding the personal information is particularly sensitive.
Level of risk to privacy: Elevated risk
C) Program or Activity Partners
With other institutions or a combination of federal, provincial or territorial, and municipal governments.
Level of risk to privacy: Moderate risk
D) Program duration
Each transition represents a one-time, short-term activity.
Level of risk to privacy: Moderate risk
E) Program population
The program's use of personal information for external administrative purposes affects certain individuals.
Level of risk to privacy: Moderate risk
F) Technology and Privacy
- Does the new or substantially modified program or activity involve implementation of a new electronic system or the use of a new application or software, including collaborative software (or groupware), to support the program or activity in terms of the creation, collection or handling of personal information?
- Risk to privacy: No
- Does the new or substantially modified program or activity require any modifications to information technology legacy systems?
- Risk to privacy: No
- Does the new or substantially modified program or activity involve implementation of new technologies or one or more of the following activities:
-
- Enhanced identification methods;
- Risk to privacy: No
- Surveillance;
- Risk to privacy: No
- Automated personal information analysis, personal information matching and knowledge discovery techniques?
- Risk to privacy: No
Level of risk to privacy: Low risk
G) Personal Information Transmission
All files to be transferred will be done through methods that comply with the RCMP security policies.
Further, the information will be stored in the receiving another police service's Records Management System that is complaint with RCMP process that governs how RCMP shares policing data with other agencies.
Level of risk to privacy: Moderate risk
H) Potential risk that in the event of a privacy breach, there will be an impact on the individual or employee
While the risk of a breach is minimal given the security measures put in place by the RCMP, given the nature of the information contained in open police files, it is likely that an individual named in an open police investigation may face reputational harm, embarrassment as well as financial harm and potential physical harm given the links to criminal activity.
The RCMP recognizes the need to maintain the integrity of data, not only for continuity and investigative purposes, but also to minimize the potential impacts to an individual's privacy. To that end, all RCMP handlers of this information are provided with training on the basic principles of the Privacy Act and the need to properly protect personal information from unauthorized disclosure. Similarly, the receiving police service will have an equivalent responsibility to protect personal information under provincial/territorial legislation – minimizing the risk of privacy breaches. The other police service's processes for the handling of personal information in line with their respective provincial legislation will be outlined in a Memorandum of Understanding with the RCMP prior to the handover of operational files.
Level of risk to privacy: Moderate risk
Body Worn Camera (BWC) and Digital Evidence Management Service (DEMS)
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- Government Institution
- Royal Canadian Mounted Police (RCMP)
- Program Name
- Body Worn Camera (BWC) and Digital Evidence Management (DEMS) Service
- Government official responsible for the Privacy Impact Assessment (PIA)
- Deputy Commissioner
Contract & Indigenous Policing (C&IP) - Head of the government institution or Delegate for section 10 of the Privacy Act
- Director General
Access to Information and Privacy (ATIP) - Standard or Institution Specific Class of Records:
- RCMP OPS TBD
- Standard or Institution Specific Personal Information Bank:
- RCMP PPU 005 Operational Case Records
Description of program or activity
In 2020, through its Fall Economic Statement, the Government of Canada announced funding for the implementation of a National BWC Program for the RCMP. As part of the Program, the RCMP plans to deploy up to 15,000 BWCs to frontline officers in support of contract and federal policing. Once fully implemented, the Program will see all RCMP officers who interact with the public equipped with a BWC while on duty. BWCs will be used overtly and in plain sight to capture audio and visual recordings of interactions and incidents between uniformed police officers and members of the public.
Why a PIA was conducted
The RCMP is named in the Schedule to the Privacy Act and is subject to the privacy policies and directives of the Treasury Board of Canada Secretariat (TBS). Under the TBS Policy on Privacy Protection, all federal institutions subject to the Privacy Act are required to undertake an assessment of the privacy impacts associated with the development or design of new programs or services involving personal information (or when making significant changes to an existing program or service).
The purpose of the PIA was to help ensure that the RCMP operates its BWCs in a privacy sensitive manner. The PIA report serves as a record of the RCMP's consideration of privacy matters related to the use of BWCs for general duty policing and as an assessment of controls adopted by the RCMP to help ensure that its BWC and DEMS Service complies with the federal Privacy Act.
Scope of PIA
The PIA included a review of the lifecycle of personal information collected through BWCs and an assessment of core features and functionality of the RCMP's BWC and DEMS Service. It also included a review of policies, practices, and processes adopted by the RCMP in support of the implementation of its National BWC Program. This includes protocols relating to the activation and de-activation of BWCs, standards for recording in sensitive situations, rules governing access to video recordings, and processes for informal viewings, video management and uploading, video redaction and deletion, evidence storage, and retention.
Results of PIA
Most privacy issues identified in the PIA process have been addressed by the RCMP. Risk mitigation measures, implemented prior to the Program's launch and monitored on an ongoing basis, are expected to reduce the Program's overall privacy risk to a low or acceptable level. Key findings and results from the PIA are summarized below:
- Proper Authority: The RCMP has established the legal authorities under which the Program can be deployed and will limit its planned use of BWCs (and all associated collections of personal information) to requirements under the Privacy Act and Charter.
- Clear Accountability: The RCMP has designated senior-level individuals accountable for the Program and established clear expectations and responsibilities for the proper use of the BWC and DEMS Service by its members.
- Good Governance: The RCMP has developed a comprehensive policy and robust governance framework to guide and support the use of the BWC and DEMS Service and to guide the proper collection, use, disclosure, and retention of personal information.
- Openness and Transparency: The RCMP has been open and transparent about the Program and its implementation, and has made specific information about its policies and practices relating to the management of personal information publicly available.
- Proper Notification: The RCMP has developed operational policies and protocols to guide members on how to inform individuals of the use of the BWCs, and issued public notices about the use of BWCs and their recording of police-public interactions in affected communities. Notifications include both verbal and visual prompts, and extensive communications materials.
- Limited Use: The RCMP will only use BWCs to document officers' interactions with members of the public during the execution of their law enforcement duties, and for training purposes. BWCs will not be hidden or used covertly, or deployed for general surveillance.
- Limited Collection: The RCMP will restrict the use of BWCs in private and sensitive settings where there is a heightened expectation of privacy. The use of BWCs in private dwellings, healthcare facilities, spiritual spaces, and places of worship is only permitted with an individual's consent or in exigent circumstances.
- Limited Disclosure: The RCMP has established limits on the sharing of BWVs to limit disclosures to those permitted by law. This includes policies and procedures to support the limited disclosure of BWVs proactively in the public interest, and the disclosure of recordings as evidence to the Crown.
- Limited Retention: The RCMP has established clear retention periods for BWVs. Retention periods are sufficiently long to facilitate an individual's right of access to recordings, and reasonably short so as not to retain recordings of little to no business value for longer than needed.
- Secure Storage: Access to BWCs and BWVs will be highly restricted and monitored. All recordings will be encrypted at rest, during transit, and while stored in third-party systems. The secure storage and transmission of BWVs is supported by enterprise policies and procedures, and all employees will be trained on data security and protection measures. The primary mechanism to transfer data will be via a secure link. Should it be necessary to use portable storage devices to support the transfer of BWVs to authorized officials and partner agencies - all storage devices used will be encrypted and password protected. In all such instances, the use of USB keys to transfer BWVs will comply with the RCMP and Government of Canada's guidelines and policies pertaining to portable storage devices. Of note, the RCMP created a working group at the Director General level to examine the use of USB keys within the RCMP propose safer storage options and alternatives where feasible. The RCMP will continue to prioritize DEMS to DEMS transfers, whereby information is shared with law enforcement partners and the Crown through a secure on-line channel only.
- Public Access to Information: The RCMP has developed policies and procedures to respond to requests for access to BWVs and an informal process to allow members of the public to view BWVs of themselves with a view to promoting the early resolution of public complaints. RCMP ATIP will receive specialized training and tools to support the timely review and redaction of BWVs. ATIP resources will be re-assessed and re-aligned where necessary to ensure that the RCMP meets its statutory duties.
More information
If you would like more information about this PIA, contact:
- Access to Information and Privacy Branch (Privacy Management Division)
- RCMP MAILSTOP #61, 73 Leikin Drive, Ottawa, Ontario K1A 0R2
- Telephone: 613-843-6800
- atippolicy_politiqueaiprp@rcmp-grc.gc.ca
Les caméras d’intervention (CI) et le système de gestion des preuves numériques (SGPN)
Sur cette page
- Institution gouvernementale
- Gendarmerie royale du Canada (GRC)
- Nom du programme
- Caméras d'intervention (CI) et système de gestion des preuves numériques (SGPN)
- Fonctionnaire responsable de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée (EFVP)
- Sous-commissaire
Services de police contractuels et autochtones (SPCA) - Responsable de l'institution gouvernementale ou délégué pour l'application de l'article 10 de la Loi sur la protection des renseignements personnels
- Directeur général
Accès à l'information et protection des renseignements personnels - Catégories de documents ordinaires ou propres à une institution :
- Programme national des caméras d'intervention (numéro d'enregistrement à venir)
- Fichier de renseignements personnels ordinaire ou propre à une institution :
- GRC PPU 005 Dossiers opérationnels
Description du programme ou de l'activité
En 2020, dans son Énoncé économique de l'automne, le gouvernement du Canada a annoncé un financement pour la mise en œuvre d'un programme national de caméras d'intervention pour la GRC. Dans le cadre du programme, la GRC prévoit déployer jusqu'à 15 000 caméras d'intervention aux agents de première ligne pour appuyer les services de police contractuels et les services de police fédérale. Une fois entièrement mis en œuvre, le programme permettra à tous les agents de la GRC qui interagissent avec le public de porter une caméra lorsqu'ils exercent leurs fonctions. Les caméras d'intervention, qui seront visibles et utilisées de façon non dissimulée, serviront à faire des enregistrements audio et visuels des interactions et des incidents entre des agents de police en uniforme et les membres du public.
Pourquoi une EFVP a-t-elle été réalisée
La GRC est nommée dans l'annexe de la Loi sur la protection des renseignements personnels et est assujettie aux politiques et directives du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada (SCT) en matière de protection des renseignements personnels. En vertu de la Politique sur la protection de la vie privée du SCT, toutes les institutions fédérales assujetties à la Loi sur la protection des renseignements personnels sont tenues d'évaluer les facteurs relatifs à la vie privée associés à l'élaboration ou à la conception de nouveaux programmes ou services qui prévoient l'utilisation de renseignements personnels (ou lorsque des modifications importantes sont apportées à un programme ou service existant).
L'objectif de l'EFVP était de veiller à ce que la GRC exploite ses caméras d'intervention de manière conforme aux exigences en matière de protection de la vie privée. Le rapport d'EFVP sert de compte rendu de l'examen, par la GRC, des questions de protection de la vie privée liées à l'utilisation des caméras d'intervention pour les services de police généraux et d'évaluation des contrôles adoptés par la GRC pour veiller à ce que ses caméras et son système de gestion des preuves numériques soient conformes à la Loi sur la protection des renseignements personnels.
Portée de l'EFVP
L'EFVP comprenait un examen du cycle de vie des renseignements personnels recueillis par les caméras d'intervention et une évaluation de leurs caractéristiques et fonctionnalités de base de même que de celles du système de gestion des preuves numériques de la GRC. Elle comprenait également un examen des politiques, des pratiques et des processus adoptés par la GRC à l'appui de la mise en œuvre de son programme national de caméras d'intervention. Il s'agit notamment des protocoles relatifs à l'activation et à la désactivation; des normes concernant l'enregistrement dans les situations de nature délicate; des règles régissant l'accès aux enregistrements vidéo et des processus relatifs aux visionnements informels, à la gestion et au téléchargement des vidéos, au caviardage et à la suppression des vidéos ainsi qu'au stockage et à la conservation des éléments de preuve.
Résultats de l'EFVP
La plupart des enjeux liés à la protection des renseignements personnels relevés dans le cadre du processus de l'EFVP ont été réglés par la GRC. Les mesures d'atténuation des risques, mises en œuvre avant le lancement du programme et surveillée d'une façon constante, devraient réduire à un niveau faible ou acceptable le risque global du programme lié à la protection des renseignements personnels. Les principales constatations et les principaux résultats de l'EFVP sont résumés ci-dessous :
- Pouvoirs appropriés : La GRC a établi les pouvoirs juridiques en vertu desquels le programme peut être déployé et limitera son utilisation prévue des caméras d'intervention (et de toutes les collectes connexes de renseignements personnels) aux exigences de la Loi sur la protection des renseignements personnels et de la Charte.
- Responsabilité claire : La GRC a désigné des cadres supérieurs responsables du programme et a établi des attentes et des responsabilités claires quant à l'utilisation appropriée des caméras d'intervention et du SGPN par ses membres.
- Saine gouvernance : La GRC a élaboré une politique exhaustive et un cadre de gouvernance solide pour guider et appuyer l'utilisation des caméras d'intervention et du SGPN ainsi que pour orienter la collecte, l'utilisation, la divulgation et la conservation appropriées des renseignements personnels.
- Ouverture et transparence : La GRC a fait preuve d'ouverture et de transparence au sujet du programme et de sa mise en œuvre, et elle a rendu publics des renseignements précis sur ses politiques et pratiques relatives à la gestion des renseignements personnels.
- Avis approprié : La GRC a élaboré des politiques et des protocoles opérationnels pour guider les membres sur la façon d'informer les personnes de l'utilisation des caméras d'intervention, et elle a publié des avis publics sur leur utilisation les enregistrements des interactions entre la police et le public dans les collectivités touchées. Les avis comprennent des messages verbaux et visuels, ainsi que des documents de communication détaillés.
- Utilisation limitée : La GRC n'utilisera les caméras d'intervention que pour documenter les interactions des agents avec les membres du public dans l'exercice de leurs fonctions d'application de la loi et à des fins de formation. Les caméras ne seront pas cachées ou utilisées secrètement, ni déployées à des fins de surveillance générale.
- Collecte limitée : La GRC limitera l'utilisation des caméras d'intervention dans des lieux privés ou des contextes de nature délicate où les attentes en matière de vie privée sont élevées. Leur utilisation dans des logements privés, des établissements de soins de santé, des espaces spirituels et des lieux de culte n'est permise qu'avec le consentement de la personne ou en cas d'urgence.
- Divulgation limitée : La GRC a fixé des limites au partage des enregistrements des caméras d'intervention afin de limiter la divulgation aux personnes autorisées par la loi. Cela comprend les politiques et les procédures à l'appui de la divulgation limitée et proactive des enregistrements des caméras d'intervention dans l'intérêt public et de la divulgation des enregistrements en tant qu'élément de preuve présenté à la Couronne.
- Conservation limitée : La GRC a établi des périodes de conservation claires concernant les enregistrements des caméras d'intervention. Les périodes de conservation sont suffisamment longues pour faciliter le droit d'accès d'une personne aux enregistrements, et raisonnablement courtes pour ne pas conserver plus longtemps que nécessaire des enregistrements qui n'ont que peu ou pas de valeur opérationnelle.
- Stockage sécurisé : L'accès aux CI et aux enregistrements sera très restreint et surveillé. Tous les enregistrements seront chiffrés au repos, pendant le transport et pendant qu'ils sont stockés dans des systèmes tiers. Le stockage et la transmission sécurisés des enregistrements sont appuyés par les politiques et les procédures opérationnelles, et tous les employés recevront une formation sur les mesures de sécurité et de protection des données. La façon principale pour transférer les enregistrements sera par l'entremise d'un lien sécurisé. S'il s'avère nécessaire d'utiliser un dispositif portatif de stockage afin de transférer des enregistrements de cameras d'intervention à des individus autorisés ou agences partenaires, les dispositifs seront chiffrés et protégés par un mot de passe. Dans ces situations, l'utilisation de clés USB pour transférer des enregistrements de caméras d'intervention sera conforme aux lignes directrices et politiques de la GRC et du Gouvernement du Canada relatives aux dispositifs de stockage portatifs. Notons que la GRC a créé un groupe de travail composé de directeurs généraux qui se penche sur l'utilisation des clés USB au sein de la GRC afin de proposer des options plus sécuritaires et alternatives lorsque possible. La GRC continue de prioriser le partage au sein du SGPN de façon sécurisée lorsque l'information est partagée à d'autres services de police ou à la Couronne.
- Accès du public à l'information : La GRC a élaboré des politiques et des procédures pour répondre aux demandes d'accès aux enregistrements des caméras d'intervention ainsi qu'un processus informel pour permettre aux membres du public de voir eux-mêmes les enregistrements afin de favoriser le règlement rapide des plaintes du public. La sous-direction de l'AIPRP de la GRC recevra de la formation et des outils spécialisés et afin de soutenir la revue et le caviardage des enregistrements. Les ressources de la sous-direction seront réévaluées et réalignées lorsque nécessaire afin que la GRC puisse rencontrer les exigences de la loi pour le traitement des demandes d'accès.
Plus d'information
Pour de plus amples renseignements sur cette EFVP, veuillez communiquer avec :
- Sous-direction de l'accès à l'information et de la protection des renseignements personnels (Division de la gestion de la protection des renseignements personnels)
- ARRÊT POSTAL DE LA GRC No 61, 73 promenade Leikin, Ottawa (Ontario) K1A 0R2
- Téléphone : 613-843-6800
- atippolicy_politiqueaiprp@rcmp-grc.gc.ca
Programme national de criminalistique numérique
Institution gouvernementale
Gendarmerie royale du Canada
Responsable de l'institution fédérale ou son délégué en vertu de l'article 10 de la Loi sur la protection des renseignements personnels
Danielle Golden, directrice de la protection de la vie privée, Sous-division de l'accès à l'information et de la protection des renseignements personnels
Haut fonctionnaire ou cadre responsable de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
Surintendant Nicolas Gagné, directeur général par intérim, Services d'enquêtes techniques – Services de police spécialisés
Nom et description du programme ou de l'activité de l'institution gouvernementale
Programme national de criminalistique numérique
Autorité légale du programme ou de l'activité
Article 18 de la Loi sur la Gendarmerie royale du Canada
Alinéa 14(1)a) du Règlement sur la Gendarmerie royale du Canada
Fichier de renseignements personnels ordinaire ou spécifique à une institution
Dossiers opérationnels, GRC PPU 005
Dossiers opérationnels des renseignements sur la criminalité, GRC PPU 015
Dossiers des enquêtes relatives à la sécurité nationale, GRC PPU 025
Description du projet, de l'initiative ou du changement
L'utilisation d'appareils électroniques fait désormais partie intégrante de notre vie quotidienne. L'usage de l'électronique pour stocker des données a créé de nouvelles brèches pour des activités criminelles, ce qui signifie que les criminels sont plus susceptibles de laisser des traces numériques de leurs activités. Bien que la police soit parfois en mesure d'extraire les données stockées sur ou par des appareils numériques, des mesures de protection telles que le chiffrement de bout en bout sont souvent utilisées pour rendre cette extraction de données illisibles et donc inutiles pour les enquêteurs. Au fur et à mesure que les technologies de données numériques ont évolué, les outils et les techniques utilisés par les services de police ont également progressés, ce qui a mené à la création du Programme national de criminalistique numérique de la GRC. L'information est à la fois nécessaire et pertinente pour les services de police et d'application de la loi, ainsi que pour assurer la sécurité du Canada.
Les pouvoirs de perquisition et de saisie qui permettent à la police de recueillir des éléments de preuve sont reconnus par les tribunaux. Le mandat du Programme national de criminalistique numérique est de mettre en œuvre des techniques technologiques légales, en utilisant des outils d'accès de criminalistique numérique, pour rechercher et saisir des données numériques contenues dans des appareils électroniques
Les outils et les techniques de criminalistique numérique utilisés peuvent varier considérablement et dépendent du matériel, des logiciels et des configurations de réseau des appareils électroniques saisis. Ces outils sont généralement appelés des outils d'accès de criminalistique numérique.
Objectif et portée de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
L'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée visait à s'assurer que la GRC respecte ses obligations légales en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels en ce qui a trait à l'utilisation des outils d'accès de criminalistique numérique et de veiller à ce que les risques d'atteinte à la vie privée associés à la perquisition de renseignements personnels soient gérés de manière appropriée. L'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée du Programme national de criminalistique numérique avait également pour but d'aider à cerner et à dissiper les idées fausses du public associées aux activités de criminalistique numérique de la GRC.
Analyse des facteurs relatifs à la vie privée
D'après l'évaluation, les répercussions sur la vie privée associées à la collecte, à l'utilisation, à la communication et à la conservation de renseignements personnels par le Programme national de criminalistique numérique de la GRC à l'aide d'outils d'accès de criminalistique numérique offerts sur le marché devraient être faibles. Les mesures d'atténuation identifiées tout au long du processus de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée, une fois pleinement adoptées, devraient réduire davantage ces répercussions.
Contrairement à ce qu'affirment les médias et d'autres rapports sur les préoccupations du public, les outils d'accès de criminalistique numérique ne sont pas utilisés par la GRC pour espionner ou surveiller les Canadiens. Le Programme national de criminalistique numérique vise principalement à soutenir les enquêtes. Ce soutien consiste à extraire des données numériques d'appareils électroniques personnels, en vertu d'un mandat ou d'une autorisation légale, lorsque l'on soupçonne qu'il existe des preuves d'actes criminels graves, ainsi qu'à saisir ces données numériques d'une manière conforme à la Charte canadienne des droits et libertés.
Identification et catégorisation des secteurs de risque
Compte tenu du mandat du Programme national de criminalistique numérique, pour certaines des catégories énumérées ci-dessous, le niveau de risque est élevé sur l'échelle de risque du Secrétariat du Conseil du Trésor du Canada. Toutefois, les recommandations issues du processus d'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée, une fois pleinement adoptées, devraient réduire ces risques à un niveau acceptable.
A) Type de programme ou d'activité
Les renseignements personnels sont extraits et traités à partir d'appareils électroniques conformément aux autorisations judiciaires et filtrés selon les modalités de l'autorisation. L'information obtenue légalement n'est pas conservée par les unités criminalistiques numériques. Elle est remise aux enquêteurs, qui peuvent alors l'utiliser à des fins d'enquête et d'application de la loi dans un contexte criminel ou pénal. Par exemple, les décisions peuvent mener à des accusations ou à des sanctions criminelles, ou à une mesure de renvoi pour des raisons de sécurité nationale ou d'application de la loi.
Niveau de risque pour la vie privée : élevé
B) Type de renseignements personnels recueillis et contexte
Les renseignements personnels sont de nature délicate, y compris les profils détaillés, les allégations ou les soupçons et les échantillons de substances corporelles, ou alors le contexte entourant les renseignements personnels est particulièrement délicat.
Les Services de criminalistique numérique (SCN)
Niveau de risque pour la vie privée : élevé
C) Partenaires de l'activité ou du programme et l'implication du secteur privé
Les activités de criminalistique numérique de la GRC sont autorisées par la GRC lorsque des demandes de soutien à des régions du monde sont présentées par l'intermédiaire d'Affaires mondiales Canada (AMC). Les évaluations de déploiement sont effectuées en vertu d'une directive ministérielle. Il n'y a pas de restriction sur le partage des données ou des informations numériques acquises par le biais de l'analyse des Services de criminalistique numérique (SCN), mais toute l'information (y compris les renseignements personnels) extraite et traitée demeure avec le partenaire international.
Les SCN ne déterminent pas si des renseignements personnels canadiens ont été extraits. Le travail de criminalistique numérique est effectué strictement en soutien au partenaire international qui en fait la demande, avec l'autorisation judiciaire canadienne de l'organisme gouvernemental canadien approprié. Toute organisation privée ou internationale qui souhaite obtenir les services des SCN de la GRC doit obtenir une autorisation judiciaire et présenter une demande par l'intermédiaire d'une agence gouvernementale ou d'un service de police compétent.
Niveau de risque pour la vie privée : modéré
D) Durée du programme ou de l'activité
Programme ou activité à long terme
Niveau de risque pour la vie privée : modéré
E) Personnes concernées par le programme
Le programme n'utilise pas les renseignements personnels à des fins administratives externes.
Niveau de risque pour la vie privée : modéré
F) Technologie et vie privée
- L'activité ou le programme nouveau ou ayant subi des modifications importantes comprend-il la mise en œuvre d'un nouveau système électronique ou l'utilisation d'un logiciel ou d'une d'application, y compris un collecticiel (ou logiciel de groupe), afin de créer, de recueillir ou de traiter des renseignements personnels à l'appui du programme ou de l'activité?
Risque pour la vie privée : non
- L'activité ou le programme nouveau ou ayant subi des modifications importantes nécessite-t-il la modification d'anciens systèmes des technologies de l'information?
Risque pour la vie privée : non
- L'activité ou le programme nouveau ou ayant subi des modifications importantes comprend-il la mise en œuvre de nouvelles technologies ou une ou plusieurs des activités suivantes :
- Méthodes d'identification améliorées;
Risque pour la vie privée : non
- Surveillance;
Risque pour la vie privée : non
- Analyse automatisée des renseignements personnels, mise en correspondance des renseignements personnels et techniques de découverte de connaissances?
Risque pour la vie privée : non
- Méthodes d'identification améliorées;
- Niveau de risque pour la vie privée : faible
G) Transmission des renseignements personnels
L'information extraite par la GRC à l'aide d'outils d'accès criminalistique numérique n'est pas partagée ou transmise entre les groupes à l'interne. Une partie de l'information extraite sera communiquée aux enquêteurs conformément aux modalités d'une autorisation judiciaire. La transmission de ces données se fera par l'intermédiaire d'un réseau sécurisé ou par l'utilisation de dispositifs de stockage portables chiffrés, qui sont soumis à des règles et à des politiques strictes.
Niveau de risque pour la vie privée : faible
H) Risque de répercussions sur la personne ou l'employé en cas d'atteinte à la vie privée
Une atteinte à la vie privée pendant les activités des SCN pourrait causer un préjudice à la personne qui fait l'objet d'une enquête policière ou qui est accessoire à l'enquête. Divers types d'autorisations judiciaires sont accordés pour appuyer les efforts de saisie de données numériques des SCN. Ces autorisations définissent les informations que le tribunal a jugé appropriées d'extraire dans le cadre de l'enquête spécifique et la manière dont ces données numériques peuvent être extraites. Les appareils électroniques contiennent une myriade de données numériques (qui peuvent contenir des renseignements personnels). Les organismes d'application de la loi n'ont le droit de divulguer que les renseignements précisés dans le mandat.
Le risque d'atteinte à la vie privée est minime en vertu des mesures de sécurité mises en place par la GRC. Compte tenu de la nature des données saisies par l'intermédiaire des SCN, il est possible qu'une atteinte puisse causer un préjudice grave à la personne. La GRC et les unités divisionnaires des SCN reconnaissent la nécessité de maintenir l'intégrité des données saisies, non seulement à des fins de continuité et d'admissibilité devant les tribunaux, mais également pour réduire les répercussions potentielles sur la vie privée d'une personne. À cette fin, les Services de criminalistique numérique gère les renseignements extraits conformément aux politiques de la GRC et du gouvernement du Canada concernant les renseignements « Protégé B ».
Niveau de risque pour la vie privée : modéré
National Digital Forensics Program
Government institution
Royal Canadian Mounted Police
Head of the government institution or delegate for section 10 of the Privacy Act
Danielle Golden, Director of Privacy, Access to Information and Privacy Branch
Senior official or executive responsible for the Privacy Impact Assessment
Superintendent Nicolas Gagné Acting Director General, Technical Investigation Services/Specialized Policing Services.
Name and description of the program or activity of the government institution
National Digital Forensics Program
Legal authority for the program or activity
Section 18 of the Royal Canadian Mounted Police Act
Paragraph 14(1)(a) of the Royal Canadian Mounted Police Regulations
Standard or institution specific personal information bank
Operational Case Records, RCMP PPU 005
Criminal Operations Intelligence Records, RCMP PPU 015
National Security Investigations Records, RCMP PPU 025
Description of the project, initiative or change
The use of electronic devices has become part of our daily lives. Using these devices to store data created new opportunities for criminal activity which means that criminals are likely to leave a digital trail of evidence. Police can extract data stored on digital devices, however, protections like end-to-end encryption are often used to make data extractions unreadable and useless to investigators. The data is critical for law enforcement to ensure Canada's safety and security. Digital technology has evolved, but so have the tools and techniques used by police. This has driven the RCMP's National Digital Forensics Program.
Authorities for police to seize and collect evidence are recognized in the courts. The RCMP National Digital Forensics Program's mandate is to implement lawful technological techniques using Digital Forensics Access Tools to search and seize digital data from electronic devices.
Depending on the hardware, software and network configurations of the lawfully seized devices, different digital forensic tools and techniques may be used to access them. This class of tools are generally referred to as Digital Forensics Access Tools.
Purpose and scope of the privacy impact assessment
The privacy impact assessment ensures that:
- The RCMP's use of Digital Forensics Access tools meets its legal obligations under the Privacy Act;
- The privacy risks with the use and collection of personal information are managed effectively;
- Public misconceptions about the RCMP's digital forensics activities are identified and addressed.
Privacy analysis
Privacy impacts associated with the collection, use, disclosure and retention of personal information using commercial digital forensics access tools are expected to be low. Associated risks identified in the assessment process are expected to be even lower once fully adopted. Potential impacts on the privacy of individuals will be managed through appropriate legal, policy and technical measures geared at protect personal information.
The RCMP does not use Digital Forensics Access tools to spy on or keep tabs on Canadians. The RCMP's National Digital Forensics Program's role is to support investigations through extracting digital data from personal electronic devices, with a warrant or lawful authority, and in compliance with the Canadian Charter of Rights and Freedoms.
Risk area identification and categorization
Given the mandate of the National Digital Forensics Program, for some of the categories listed below, the level of risk is elevated on the Treasury Board of Canada Secretariat risk scale. However, recommendations from the privacy impact assessment process, once fully adopted, are expected to reduce those risks to an acceptable level.
A) Type of program or activity
Personal information is extracted from electronic devices and processed in accordance with judicial authorizations. Information is filtered by the terms and conditions of the authorization. The legally obtained information is not retained by the digital forensics units. It is provided to the investigators and may be used for investigations and enforcement in a criminal context. For example, decisions can result in criminal charges, sanctions or removal orders for reasons of national security or criminal enforcement.
Level of risk to privacy: Elevated risk
B) Type of personal information involved and context
Sensitive personal information, including detailed profiles, allegations or suspicions, bodily samples and/or the context surrounding the personal information is particularly sensitive.
National Digital Forensics Program
Level of risk to privacy: Elevated risk
C) Program or activity partners and private sector involvement
RCMP digital forensics activities are authorized by the RCMP when support requests from international partners come through Global Affairs Canada. Deployment assessments are done under Ministerial Directive. There are no restrictions on sharing digital data/information acquired through Digital Forensics Services (DFS) analysis. Any information (including personal information) extracted and processed remains within the supported international partner.
DFS does not determine if Canadian personal information was extracted. RCMP Digital Forensics Examiner's work is conducted strictly to support the international partner requesting assistance. Everything is done with Canadian judicial authorization from the appropriate Canadian government agency. Private sector or international organizations wanting RCMP DFS services, require judicial authorization and must make the request through the proper government or police agency.
Level of risk to privacy: Moderate Risk
D) Duration of the program or activity
Long-term program or activity
Level of risk to privacy: Moderate Risk
E) Program population
The program does not use personal information for external administrative purposes.
Level of risk to privacy: Moderate Risk
F) Technology and privacy
- Does the new or substantially modified program or activity involve implementation of a new electronic system or the use of a new application or software, including collaborative software (or groupware), to support the program or activity in terms of the creation, collection or handling of personal information?
Risk to privacy: No
- Does the new or substantially modified program or activity require any modifications to information technology legacy systems?
Risk to privacy: No
- Does the new or substantially modified program or activity involve implementation of new technologies or one or more of the following activities:
- Enhanced identification methods;
Risk to privacy: No
- Surveillance;
Risk to privacy: No
- Automated personal information analysis, personal information matching and knowledge discovery techniques?
Risk to privacy: No
- Enhanced identification methods;
- Level of risk to privacy: Low risk
G) Personal information transmission
Information extracted with the RCMP using Digital Forensics Access tools are not shared or transmitted between groups internally. A portion of the extracted information will be shared with investigators in accordance with the terms and conditions of a judicial authorization. The transmission of that data will be done through secured network, or through the use of encrypted portable storage devices, which are subject to strict rules and policies.
Level of risk to privacy: Moderate risk
H) Potential risk that in the event of a privacy breach, there will be an impact on the individual or employee
A privacy breach during DFS operations could be damaging to the subject of a police investigation or an individual who is incidental to the investigation. Various types of judicial authorizations are granted to support the DFS' digital data seizure efforts. Authorizations define what the court has deemed appropriate information to extract for the investigation and how it can be extracted. Electronic devices contain countless amounts of digital data (which may contain personal information). Law enforcement is only entitled to disclose the information specified in the warrant.
The risk of a breach is minimal given the security measures put in place by the RCMP. Given the nature of the data extracted by DFS, a possible breach could result in serious injury to the individual. The RCMP and the divisional DFS units recognize the need to maintain the integrity of seized data, not only for continuity and admissibility in court, but also to minimize potential impacts to an individual's privacy. To that end, the National Digital Forensics Program manages the extracted information in accordance with RCMP and Government of Canada policies for Protected B information.
Level of risk to privacy: Moderate risk
MyCFP Enhancements, Release 1, Program Increment 1
On this page
Overview and privacy impact assessment initiation
Government institution
Royal Canadian Mounted Police
Head of the government institution or delegate for section 10 of the Privacy Act
Danielle Golden
Director of Privacy
Access to Information and Privacy Branch
Senior official or executive responsible for the privacy impact assessment
Kellie Paquette
Director General
Specialized Policing Services, Canadian Firearms Program
Name and description of the program or activity of the government institution
Canadian Firearms Program
Legal authority for the program or activity
Firearms Act
Standard or institution-specific personal information bank
Canadian Firearms Program, RCMP PPU 100
Canadian Firearms Information System (CFIS), RCMP PPU 037
Inquiries by Firearms Owners, Licence Applicants, and the general public, RCMP PPU 007
Description of the project, initiative or change
The Royal Canadian Mounted Police Canadian Firearms Program is modernizing its service delivery, a period of transformation and automation expected to evolve over five years. The upcoming changes are driven by government priorities led by the Minister of Public Safety and the Minister of Justice and Attorney General of Canada to improve the safety of our cities and communities and reduce gun violence by modernizing systems that are aging and can no longer support functionalities needed, are largely paper-based, and prone to significant error rates. These issues are further compounded by the inability of existing systems and processes to easily adapt to changing legislation, and by client expectations that services should be faster, easier and available at any time.
The MyCFP enhancements provide new functionalities to the cloud-based solution, the Canadian Firearms Digital Services Solution (publicly branded as "MyCFP"), a large scale initiative to digitize services provided by the Canadian Firearms Program. The Canadian Firearms Digital Services Solution will require the collection and use of personal information to determine eligibility for the licensing and registration requirements of firearms as is required today by existing paper or electronic methods. The Canadian Firearms Digital Services Solution is a Microsoft cloud-based service that will coexist with the existing Canadian Firearms Information System until all functionalities are fully integrated. Information collected in the MyCFP Portal is stored and will operate in the RCMP's secure cloud Protected B environment and will interface with the on-premise Canadian Firearms Information System.
Purpose and scope of the privacy impact assessment
This Privacy Impact Assessment on the MyCFP Portal is the third in a series of Privacy Impact Assessments that is being developed incrementally as the program's new online public-facing system evolves, to ensure that the Royal Canadian Mounted Police meets its legal obligations under the Privacy Act, and to ensure that privacy risks are identified, assessed, and mitigated. This initiative provides further functionality that substantially modify the system to provide submission of online applications for a Minor's Licence, for applications under the Aboriginal Peoples of Canada Adaptations Regulations (Firearms), and Fee and Photo Waivers. The Portal is also updated to provide for technological updates for automating and verifying addresses and secure communication between the applicant and the Canadian Firearms Program.
The scope of the Privacy Impact Assessment is restricted to changes in how the Canadian Firearms Program collects personal information related to these enhancements in this release. The same personal information for paper-based services will be collected by the Portal in accordance with the Firearms Act. Personal information collected in the Portal will only be used to determine the existence of an existing client/individual profile in the Canadian Firearms Information System. Data linkages against the Canadian Firearms Information System exist to verify individual identity only.
Privacy analysis
Based on this assessment, privacy impacts associated with the collection and use of personal information in the MyCFP Enhancements, Release 1, Program Increment 1 are expected to be Moderate. Recommendations from the privacy impact assessment process, once fully completed, are expected to reduce these risks to a low (or acceptable) level. In addition, opportunities to improve the Canadian Firearms Program's privacy practices through policy and technical measures were considered throughout the development of the Privacy Impact Assessment.
Risk area identification and categorization
A) Type of program or activity
Personal information is used for the administration of the Firearms Act (for example to facilitate legislative requirements) and may involve compliance and enforcement activities (for example as required for reasons of public safety and law enforcement).
Level of risk to privacy: Low to moderate risk
B) Type of personal information involved and context
Personal information, with or without contextual sensitivities, for example, personal information collected from or about minors, or representatives of minors, and personal information collected about one's aboriginal or religious community may be collected.
Level of risk to privacy: Moderate risk
C) Program or activity partners and privacy sector involvement
Within the institution, with other government institutions, federal, provincial or territorial, and municipal governments and private sector organizations, international organizations and/or foreign governments.
Level of risk to privacy: Elevated risk
D) Duration of the program or activity
Long-term program or activity
Level of risk to privacy: Moderate risk
E) Program population
The program's use of personal information for external administrative purposes affects certain individuals.
Level of risk to privacy: Moderate risk
F) Technology and privacy
- Does the new or substantially modified program or activity involve implementation of a new electronic system or the use of a new application or software, including collaborative software (or groupware), to support the program or activity in terms of the creation, collection or handling of personal information?
Risk to privacy: Yes
- Does the new or substantially modified program or activity require any modifications to information technology legacy systems?
Risk to privacy: Yes
Amélioration de la version 1 de monPCAF, Incrément de programme 1
Sur cette page
Aperçu et réalisation de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
Institution gouvernementale
Gendarmerie royale du Canada
Chef de l'institution gouvernementale ou délégué pour l'article 10 de la Loi sur la protection des renseignements personnels
Danielle Golden
Directrice, Protection des renseignements personnels
Sous-direction de l'accès à l'information et de la protection des renseignements personnels
Haut fonctionnaire ou cadre responsable de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
Kellie Paquette
Directrice générale
Services de police spécialisés, Programme canadien des armes à feu
Nom et description du programme ou de l'activité de l'institution gouvernementale
Programme canadien des armes à feu
Autorité légale du programme ou de l'activité
Loi sur les armes à feu
Fichier de renseignements personnels standard ou spécifique à une institution
Programme canadien des armes à feu, GRC PPU 100
Système canadien d'information relative aux armes à feu (SCIRAF), GRC PPU 037
Requêtes des propriétaires d'armes à feu, des demandeurs de permis et du grand public, GRC PPU 007
Description du projet, de l'initiative ou du changement
Le Programme canadien des armes à feu (PCAF) de la Gendarmerie royale du Canada (GRC) modernise sa prestation de services et cette période de transformation et d'automatisation devrait s'étendre sur cinq ans. Les changements à venir s'inscrivent dans le cadre de priorités gouvernementales dirigées par le ministre de la Sécurité publique et le ministre de la Justice et procureur général du Canada afin d'améliorer la sécurité de nos villes et de nos collectivités et de réduire la violence armée en modernisant des systèmes vieillissants qui ne remplissent plus les fonctions requises, qui reposent en grande partie sur des supports papier et qui sont sujets à des taux d'erreur importants. Ces problèmes sont exacerbés par le fait que les systèmes et les processus en place ne peuvent pas s'adapter facilement à l'évolution de la législation et aux attentes des clients qui souhaitent des services plus rapides, plus conviviaux et disponibles en tout temps.
L'amélioration apportée à monPCAF ajoute de nouvelles fonctionnalités à la solution infonuagique, la Solution de services en ligne du Programme canadien des armes à feu (publiquement désignée « monPCAF »), une initiative à grande échelle de numérisation des services fournis par le Programme canadien des armes à feu. La Solution de services en ligne du Programme canadien des armes à feu (SSLPCAF) devra recueillir et utiliser des renseignements personnels pour déterminer l'admissibilité au permis et à l'enregistrement d'armes à feu, comme c'est le cas aujourd'hui avec les méthodes papier ou électroniques. La SSLPCAF est un service infonuagique de Microsoft qui coexistera avec le Système canadien d'information relative aux armes à feu (SCIRAF) en place jusqu'à ce que les fonctionnalités soient entièrement intégrées. Les renseignements recueillis dans le portail MonPCAF seront stockés et utilisés dans l'environnement infonuagique sécurisé protégé B de la GRC qui sera interfacé avec le SCIRAF sur place.
Objectif et portée de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
Cette EFVP sur le portail MonPCAF est la troisième d'une série d'EFVP élaborées au fur et à mesure de l'évolution du nouveau système public en ligne du programme, afin de garantir que la GRC respecte ses obligations légales en vertu de la Loi sur la protection des renseignements personnels et que les risques liés à la protection de la vie privée sont cernés, évalués et atténués. Cette initiative offre une fonctionnalité supplémentaire qui modifie considérablement le système en permettant la soumission de demandes en ligne de permis pour mineur, de demandes en vertu du Règlement d'adaptation visant les armes à feu des peuples autochtones du Canada et de dispenses du droit de permis ou de photo. Le portail est également mis à jour afin de permettre des mises à jour technologiques visant l'automatisation et la vérification des adresses ainsi que la communication sécurisée entre le demandeur et le Programme canadien des armes à feu.
La portée de l'EFVP se limite aux changements dans la façon dont le Programme canadien des armes à feu recueille les renseignements personnels à la suite des améliorations apportées à la présente version. Les renseignements personnels recueillis dans le portail seront les mêmes que ceux recueillis en format papier, conformément à la Loi sur les armes à feu. Les renseignements personnels recueillis dans le portail ne seront utilisés que pour déterminer s'il existe déjà un profil client/particulier dans le SCIRAF. Des liens entre ces données et le SCIRAF sont disponibles pour vérifier l'identité des particuliers uniquement.
Analyse des facteurs relatifs à la vie privée
D'après l'évaluation, les incidences sur la vie privée associées à la collette et à l'utilisation de renseignements personnels grâce à l'amélioration de la version 1 de monPCAF, Incrément de programme 1 devraient être modérées. Les recommandations qui découlent du processus d'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée devraient, une fois mises en œuvre, ramener ces risques à un niveau faible (ou acceptable). En outre, les possibilités d'amélioration des pratiques du PCAF en matière de protection de la vie privée grâce à des mesures stratégiques et techniques ont été prises en compte tout au long de l'élaboration de l'EFVP.
Détermination et catégorisation des secteurs de risque
A) Type de programme ou d'activité
Les renseignements personnels sont utilisés pour l'administration de la Loi sur les armes à feu (par exemple, pour respecter les exigences législatives), notamment par des activités de conformité et d'application de la loi (par exemple, pour des raisons de sécurité publique et d'application de la loi).
Niveau de risque pour la vie privée : faible à modéré
B) Type de renseignements personnels et contexte
Les renseignements personnels, qu'ils soient de nature délicate ou non selon le contexte, par exemple, les renseignements personnels recueillis auprès de mineurs ou de représentants de mineurs ou concernant des mineurs ou des représentants de mineurs, ainsi que les renseignements personnels recueillis au sujet de la communauté autochtone ou religieuse d'une personne peuvent être recueillis.
Niveau de risque pour la vie privée : modéré
C) Partenaires du programme ou de l'activité et participation du secteur privé
Au sein de l'institution, avec d'autres institutions gouvernementales, les gouvernements fédéral, provinciaux ou territoriaux, les administrations municipales et les organisations du secteur privé, les organisations internationales et/ou les gouvernements étrangers.
Niveau de risque pour la vie privée : élevé
D) Durée du programme ou de l'activité
Programme ou activité à long terme.
Niveau de risque pour la vie privée : modéré
E) Personnes visées par le programme
L'utilisation des renseignements personnels à des fins administratives externes touche certaines personnes.
Niveau de risque pour la vie privée : modéré
F) Technologie et vie privée
- L'activité ou le programme nouveau ou considérablement modifié comprend-il la mise en œuvre d'un nouveau système électronique ou l'utilisation d'une nouvelle application ou d'un nouveau logiciel, y compris un logiciel de collaboration (ou logiciel de groupe), pour appuyer le programme ou l'activité dans la création, la collecte ou le traitement des renseignements personnels?
Risque pour la vie privée : oui
- L'activité ou le programme nouveau ou considérablement modifié exige-t-il de modifier les anciens systèmes informatiques?
Risque pour la vie privée : oui
Cueillette et utilisation d'information de sources ouvertes provenant de l'internet
- Institution fédérale
- Gendarmerie royale du Canada
- Responsable de l'institution fédérale ou délégué aux termes de l'article 10 de la Loi sur la protection des renseignements personnels
- Danielle Golden
Directrice de la Protection des renseignements personnels
Sous-direction de l'accès à l'information et de la protection des renseignements personnels - Cadre supérieur responsable de l'Évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
- Surintendant Wallace Kennedy
- Nom et description du programme ou de l'activité de l'institution fédérale
- Programme de sources ouvertes de la Police fédérale
- Fondement juridique du programme ou de l'activité
- Article 18 de la Loi sur la Gendarmerie royale du Canada
- Alinéa 14(1)a) du Règlement de la Gendarmerie royale du Canada
- Renseignements personnels sur les individus
- PPU 015 (Dossiers opérationnels de renseignements sur la criminalité)
- PPU 025 (Dossiers des enquêtes relatives à la sécurité nationale)
- PPU 005 (Dossiers opérationnels)
- PPU 055 (Protection du personnel et des biens de la Couronne)
- Description du projet, de l'initiative ou du changement
-
De nos jours, des milliards de personnes dans le monde utilisent les médias sociaux, les marchés en ligne et l'internet au sens large pour faire des affaires, socialiser et faciliter une grande diversité d'activités, généralement de nature licite. Si l'internet et les médias sociaux contribuent à mettre les gens en relation et à faciliter un large éventail d'intérêts légitimes et légaux, ils facilitent et soutiennent également la conduite d'activités illégitimes et illégales, comme la traite d'êtres humains, le crime organisé, le terrorisme, les violations des droits de l'homme, les crimes de guerre et la fraude. L'utilisation prolifique de l'internet et des sites de médias sociaux a créé de nouvelles sources d'information essentielles sur les activités criminelles et les acteurs de la menace. Cette information est à la fois nécessaire et pertinente pour le maintien de l'ordre et l'application de la loi et pour assurer la sûreté et la sécurité du Canada.
L'« Information de sources ouvertes » est un terme utilisé pour désigner l'information recueillie ou extraite de l'internet, du web profond ou du web caché (dark web), et dans certains cas, acquise commercialement. Afin d'utiliser efficacement cette information pour promouvoir la sûreté et la sécurité du Canada, la Gendarmerie royale du Canada recueille et utilise de l'information de sources ouvertes conformément à son mandat d'application de la loi et de maintien de l'ordre par l'intermédiaire d'une diversité de groupes de la GRC. Plus précisément, la GRC recueille de l'information de sources ouvertes pertinente pour les enquêtes, pour identifier les enjeux et les faits pertinents puis pour élaborer des recommandations et conseiller les partenaires de la GRC sur les questions de sûreté et de sécurité.
Afin de s'assurer que la collecte et l'utilisation de l'information de sources ouvertes par la GRC sont conformes à la Loi sur la protection des renseignements personnels, le Programme de sources ouvertes de la Police fédérale a élaboré un ensemble d'instruments de politique permettant d'établir un cadre opérationnel cohérent pour tous les praticiens du renseignement de sources ouvertes. Le programme supervise également l'intégration d'outils tiers qui facilitent la conduite de cette activité. Il travaille en collaboration avec le Programme national d'intégration des technologies, soit le premier point de contact pour tous les programmes de la GRC qui envisagent d'utiliser une technologie opérationnelle. Conformément à la politique de la GRC, il faut consulter le Programme national d'intégration des technologies avant de mettre à l'essai, d'acheter, d'élaborer ou de déployer toute technologie opérationnelle. Le Programme est chargé de réaliser des évaluations rigoureuses et objectives des nouvelles technologies opérationnelles, y compris des consultations sur les aspects juridiques et de protection de la vie privée. Tout nouvel outil de sources ouvertes dont l'utilisation est envisagée dans le cadre des opérations policières devra faire l'objet d'une évaluation approfondie de la part du programme national d'intégration des nouvelles technologies. Cette politique s'applique également à tout outil ou technologie susceptible de porter atteinte à la vie privée qui est déjà utilisé mais qui n'a pas été évalué.
- Objectif et portée de l'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée
- Afin de s'assurer que l'information de sources ouvertes recueillie sur l'internet et utilisée dans le cadre d'enquêtes légales et à des fins opérationnelles soit conforme à la Loi sur la protection des renseignements personnels, la Police fédérale de la GRC a choisi d'effectuer une évaluation formelle des facteurs relatifs à la vie privée sur l'utilisation par la GRC de l'information de sources ouvertes recueillie sur internet à des fins opérationnelles. La présente évaluation porte sur l'activité de collecte d'information de sources ouvertes ans un contexte opérationnel. Elle n'évalue pas la collecte de cette information dans un contexte administratif, comme les communications, ni la collecte d'information de sources ouvertes à des fins d'enquête de sécurité.
- Analyse des facteurs relatifs à la vie privée
-
Sur la base de cette évaluation, les incidences sur la vie privée liées à la collecte, à l'utilisation, à la divulgation et à la conservation d'informations de sources ouvertes par la GRC à partir d'internet devraient être modérées. Une fois pleinement adoptées, les recommandations découlant du processus d'évaluation des facteurs relatifs à la vie privée devraient réduire ces risques à un niveau acceptable.
Les incidences possibles sur la vie privée des personnes seront gérées par la GRC au moyen de mesures juridiques, politiques et techniques appropriées visant à protéger leurs informations personnelles.
- Identification et catégorisation des secteurs de risque
-
- A. Type de programme ou d'activité
-
Les informations personnelles sont utilisées pour les enquêtes et l'application de la loi dans un contexte criminel (p. ex. les décisions peuvent mener à des accusations/sanctions criminelles ou à l'expulsion pour des raisons de sécurité nationale ou d'application de la loi en matière criminelle).
- Niveau de risque pour la vie privée : Risque élevé
- B. Type d'information personnelle et contexte
-
Renseignements personnels qui ne sont pas de nature délicate après le moment de la cueillette et qui sont fournis par une personne qui consent aussi à l'utilisation des renseignements personnels détenus par une autre source.
- Niveau de risque pour la vie privée : Risque faible
- C. Partenaires du programme ou de l'activité et participation du secteur privé
-
Au sein de l'institution, avec d'autres institutions fédérales, le gouvernement fédéral, les gouvernements provinciaux ou territoriaux, les administrations municipales et les organisations du secteur privé, les organisations internationales et/ou les gouvernements étrangers.
- Niveau de risque pour la vie privée : Risque élevé
- D. Durée du programme ou de l'activité
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Programme ou activité à long terme. program or activity
- Niveau de risque pour la vie privée : Risque modéré
- E. Populations ciblées par le programme
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Dans le cadre de ce programme, l'utilisation de renseignements personnels à des fins administratives externes touche certaines personnes.
- Niveau de risque pour la vie privée : Risque modéré
- F. Technologie et vie privée
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Est-ce que l'activité ou le programme nouvellement créé ou ayant subi des modifications importantes prévoit la mise en place d'un nouveau système électronique ou l'utilisation d'un nouveau logiciel ou d'une nouvelle application (y compris les collecticiels ou les logiciels de groupe) dans le but d'appuyer le programme ou l'activité en ce qui concerne la création, la collecte ou le traitement de renseignements personnels?
- Risque pour la vie privée : Non
L'activité ou le programme nouveau ou considérablement modifié exige‑t‑il de modifier les anciens systèmes informatiques?
- Risque pour la vie privée : Non
Est-ce que l'activité ou le programme nouvellement créé ou ayant subi des modifications importantes nécessite la mise en œuvre de nouvelles technologies ou d'au moins une des activités suivantes :
- Amélioration des méthodes d'identification
- Risque pour la vie privée : Non
- Surveillance
- Risque pour la vie privée : Non
- Analyse automatisée des renseignements personnels, jumelage des renseignements personnels et techniques de découverte des connaissances
- Risque pour la vie privée : Non
Niveau de risque pour la vie privée : Risque modéré
- G. Transmission de renseignements personnels
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Les informations de sources ouvertes recueillies par la GRC peuvent être utilisées à l'intérieur de l'organisation ou avec des partenaires chargés de l'application de la loi. La transmission de ces données se fera par le biais d'un réseau sécurisé ou par l'utilisation de dispositifs de stockage portables chiffrés.
- Niveau de risque pour la vie privée : Risque modéré
- H. Risque possible d'incidence sur la personne ou l'employé en cas d'atteinte à la vie privée
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L'information de sources ouvertes recueillie par la GRC est accessible au public sur l'internet. Par conséquent, l'impact sur la vie privée d'une personne en cas d'atteinte à la vie privée est considéré comme relativement faible. Les risques pour une personne pourraient comprendre des désagréments, de l'embarras ou des pertes financières. Lorsque l'information recueillie dans le cadre d'une activité de source ouverte donne lieu à une action des forces de l'ordre ou à des poursuites criminelles, l'impact sur la personne serait bien entendu plus important.
- Niveau de risque pour la vie privée : Risque modéré
Collection and use of open source information from the Internet
- Government institution
- Royal Canadian Mounted Police
- Head of the government institution or delegate for section 10 of the Privacy Act
- Danielle Golden
Director of Privacy
Access to Information and Privacy Branch - Senior official or executive responsible for the privacy impact assessment
- Superintendent Wallace Kennedy
- Name and description of the program or activity of the government institution
- Federal Policing Open Source Program
- Legal authority for the program or activity
- Section 18 of the Royal Canadian Mounted Police Act
- Paragraph 14(1)(a) of the Royal Canadian Mounted Police Regulations
- Personal Information Banks
- PPU 015 (Criminal Operations Intelligence Records)
- PPU 025 (National Security Investigations Records)
- PPU 005 (Operational Case Records)
- PPU 055 (Protection of Personnel and Government Property)
- Description of the project, initiative or change
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Nowadays billions of people around the world use social media, online marketplaces and the broader internet to conduct business, socialize, and facilitate a massive variety of activities, generally legal in nature. While the internet and social media help to connect people and to facilitate a wide variety of legitimate and lawful interests, they also facilitate and support the conduct of illegitimate and unlawful activities, such as human trafficking, organized crime, terrorism, human rights abuses, war crimes, and fraud. The prolific use of the internet and social media sites has created new and critical sources of information about criminal activities and threat actors. That information is both necessary and relevant to policing and law enforcement, and for ensuring Canada's safety and security.
Open source information is a term used to denote any information gathered or retrieved from the internet, the deep or dark web, and, in certain instances, commercially acquired information. In order to effectively use this information to promote Canada's safety and security, the Royal Canadian Mounted Police gathers and uses OSI according to their law enforcement and policing mandate across a variety of RCMP Units. Specifically, the RCMP collects open source information pertinent to predicated investigations, to identify issues and relevant facts, and to develop and advise RCMP partners on security and safety matters.
In order to ensure that the RCMP's collection and use of OSI complies with the Privacy Act, the Federal Policing Open Source Program developed a set of policy instruments to enable a consistent operating framework for all open source information intelligence Practitioners. The program also oversees the integration of third-party tools that facilitate the conduct of this activity. This is in conjunction with the National Technology Onboarding Program, which is the first point of contact for all RCMP units considering the use of any operational technology. In accordance with RCMP policy, the National Technology Onboarding Program is consulted before testing, purchasing, developing, or deploying any operational technology. The program is responsible for conducting thorough and objective evaluations of all new operational technologies, which includes consultations from privacy and legal perspectives. Any new open source information tool considered for use in policing operations would have to undergo a thorough assessment by the National Technology Onboarding Program. The policy also applies to any potentially privacy-invasive tools or technologies that are already in use but have not been assessed by the Program.
- Purpose and scope of the privacy impact assessment
- To ensure that open source information collected from the internet and used for lawful investigations and operational purposes is compliant with the Privacy Act, the RCMP Federal Policing Program has elected to perform a formal privacy impact assessment on the RCMP's use of open source information gathered from the internet for operational purposes. The scope of this PIA is on the activity of open source information collection in an operational context. This PIA does not assess the collection of this information used in an administrative context, such as communications, nor does assess the collection of open source information for security screening purposes.
- Privacy analysis
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Based on this assessment, privacy impacts associated with the collection, use, disclosure and retention of open-source information by the RCMP from the internet are expected to be moderate. Recommendations from the privacy impact assessment process, once fully adopted, are expected to reduce those risks to an acceptable level.
Potential impacts on the privacy of individuals will be managed by the RCMP through appropriate legal, policy and technical measures geared at the protection of their personal information.
- Risk Area Identification and Categorization
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- A. Type of program or activity
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Personal information is used for investigations and enforcement in a criminal context (for example, decisions may lead to criminal charges/sanctions or deportation for reasons of national security or criminal enforcement
- Level of Risk to Privacy: Elevated Risk
- B. Type of personal information involved and context
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Personal information, with no contextual sensitivities after the time of collection, provided by the individual with consent to also use personal information held by another source.
- Level of risk to privacy: Low risk
- C. Program or Activity Partners and Privacy Sector Involvement
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Within the institution, with other government institutions, federal, provincial or territorial, and municipal governments and private sector organizations, international organizations and/or foreign governments.
- Level of risk to privacy: Elevated risk
- D. Duration of the Program or Activity
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Long-term program or activity
- Level of risk to privacy: Moderate risk
- E. Program Population
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The program's use of personal information for external administrative purposes affects certain individuals.
- Level of risk to privacy: Moderate risk
- F. Technology and Privacy
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Does the new or substantially modified program or activity involve implementation of a new electronic system or the use of a new application or software, including collaborative software (or groupware), to support the program or activity in terms of the creation, collection or handling of personal information?
- Risk to privacy: No
Does the new or substantially modified program or activity require any modifications to information technology legacy systems?
- Risk to privacy: No
Does the new or substantially modified program or activity involve implementation of new technologies or one or more of the following activities:
- Enhanced identification methods?
- Risk to privacy: No
- Surveillance?
- Risk to privacy: No
- Automated personal information analysis, personal information matching and knowledge discovery techniques?
- Risk to privacy: No
Level of risk to privacy: Moderate Risk
- G. Personal Information Transmission
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Open source information collected by the RCMP may be used both internally or, with law enforcement partners. The transmission of that data will be effected through secured network, or through the use of encrypted portable storage devices.
- Level of risk to privacy: Moderate risk
- H. Potential Risk that in the event of a privacy breach, there will be an impact on the individual or employee
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Open source information collected by the RCMP is publicly available on the internet. As such, the privacy impacts on an individual in the event of a data breach are considered to be relatively low. Risks to an individual could conceivably include inconvenience, embarrassment, or financial harm. Where information collected from an open-source activity results in a law enforcement action or criminal charges, the impact on an individual would naturally be higher.
- Level of risk to privacy: Moderate risk
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