Un homme accusé d’infractions en matière de pornographie juvénile

24 juillet 2024
Antigonish (Nouvelle-Écosse)

Communiqué de presse

Le Groupe de lutte contre l'exploitation d'enfants dans Internet (GLEEI) de la GRC en Nouvelle-Écosse a accusé un homme d'Antigonish d'infractions en matière de pornographie juvénile.

Le 17 juillet 2024, le GLEEI a exécuté un mandat de perquisition à une résidence d'Antigonish avec l'aide de la GRC dans le District du comté d'Antigonish, des Groupes des crimes de rue d'Antigonish et d'Inverness et des Services de criminalistique numérique de la GRC.

Les enquêteurs se sont intéressés à la résidence après qu'un fournisseur de services électroniques a avisé la police que de la pornographie juvénile était téléchargée vers sa plateforme de services électroniques.

Grâce à la perquisition et à l'enquête subséquente, Harold « Verne » Barnett, 77 ans, a été accusé de transmission de pornographie juvénile, de possession de pornographie juvénile et d'accès à de la pornographie juvénile. Il a été libéré sous certaines conditions et comparaîtra en cour provinciale à Antigonish, le 4 septembre 2024.

L'enquête se poursuit. On analysera des articles saisis lors de la perquisition, avec l'aide des Services de criminalistique numérique de la GRC.

Au cours de l'enquête, la police a appris qu'Harold Barnett a été bénévole au sein d'organismes qui travaillent régulièrement avec des jeunes. Son bénévolat s'est déroulé en Colombie‑Britannique, avant 2015, et en Nouvelle-Écosse, après 2015. Pour le moment, les enquêteurs n'ont rien trouvé qui les porte à croire qu'Harold Barnett a commis d'autres infractions. La GRC en Nouvelle-Écosse encourage toute personne qui pense être ou avoir été victime de violence sexuelle à communiquer avec son détachement local de la GRC ou service de police local. La GRC adopte une approche axée sur les victimes qui tient compte de leurs traumatismes et veut que les victimes de violence sexuelle sachent qu'elle peut les aider.

En Nouvelle-Écosse, les citoyens sont tenus de signaler toute suspicion de pornographie juvénile. Cela signifie que toute personne qui trouve du matériel ou des enregistrements de pornographie juvénile doit le signaler à la police. Le fait de ne pas signaler une activité ou un matériel suspect peut entraîner des sanctions similaires à celles prévues par la Loi sur les services à l'enfance et à la famille pour le non‑signalement d'un cas de maltraitance d'enfant. La GRC encourage les citoyens à être les porte‑parole des enfants victimes d'exploitation sexuelle en signalant toute infraction présumée. Ils peuvent le faire en communiquant avec la police locale ou en utilisant le site national de signalement des cas d'exploitation sexuelle d'enfants à www.cybertip.ca

Dossier 2023-375523

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Caporale Carlie McCann
Agente d'information
GRC en Nouvelle-Écosse
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