Le 7 juillet 2024, vers 13 h 40, la GRC de Selkirk a reçu un rapport faisant état de plusieurs incidents de harcèlement criminel, dont le plus récent venait de se produire dans le parc provincial de Grand Beach.
Les agents ont été informés qu'un homme de 31 ans, originaire de Grand Marais, avait abordé une employée du parc et tenté d'engager la conversation avec elle et de lui fournir des informations sur elle que le suspect n'aurait pas dû connaître. Plusieurs autres incidents de nature similaire ont été signalés dans un court laps de temps.
L'enquête a révélé que le suspect était employé comme agent de sécurité communautaire (CSO) dans une communauté voisine.
Le 8 juillet 2024, les policiers se sont rendus au domicile du suspect, un homme de 31 ans, et l'ont placé en état d'arrestation pour harcèlement criminel. Lors de l'arrestation, les agents ont trouvé et saisi des pantalons d'uniforme, des chemises de maintien de l'ordre, une ceinture de service, des menottes, une matraque et un spray à la capsicine oléorésineuse.
L'homme de 31 ans a ensuite été libéré de sa garde à vue sur la base d'une promesse de comparaître assortie de nombreuses conditions. Il doit comparaître devant la cour provinciale de Selkirk le 29 novembre 2024.
Le 10 juillet 2024, la GRC de Selkirk a reçu d'autres renseignements selon lesquels l'homme de 31 ans pourrait être en possession d'une arme à feu dont le numéro de série a été modifié. Un mandat d'arrêt a été émis et, le 11 juillet, Matthew Madill, 31 ans, s'est rendu au quartier général du Service de police de Winnipeg où il a été remis en liberté pour comparaître devant le tribunal le 14 août 2024 à Winnipeg.
La GRC de Selkirk poursuit son enquête.
Images
–30–