La GRC au Nouveau-Brunswick s'est engagée, auprès des collectivités qu'elle sert, à favoriser la transparence et la reddition de comptes. Dans le cadre de cet engagement, les policiers de premières lignes de la province commenceront bientôt à porter des caméras d'intervention.
Les séquences audio et vidéo enregistrées par les caméras d'intervention seront gérées par un système de gestion de preuves numériques sur lequel toutes les données enregistrées seront sauvegardées.
À compter du 18 novembre 2024, les membres de premières lignes de la GRC au Nouveau-Brunswick qui travaillent dans ces détachements commenceront à porter des caméras d'intervention :
- Première Nation d'Elsipogtog
- Richibucto
- Saint-Quentin
- Première Nation de Tobique
Le déploiement des caméras se fera de façon graduelle au cours des 12 à 18 prochains mois de manière à ce que tous les détachements de la province et du pays finissent par utiliser les caméras d'intervention et le système de gestion de preuves numériques.
« Nous sommes favorables à l'utilisation des caméras d'intervention dans la province, a déclaré le caporal Hans Ouellette de la GRC au Nouveau-Brunswick. Nous vivons et travaillons dans un milieu trépidant qui se modernise, et l'ajout de cet outil d'enquête est un autre avancement positif qui montre notre engagement à favoriser la transparence et la reddition de comptes. »
Les policiers de la GRC porteront habituellement la caméra sur la poitrine, et les membres du public sauront que la caméra enregistre lorsqu'une lumière rouge sera allumée sous la lentille de la caméra et clignotera. Les caméras d'intervention ne seront pas utilisées pour faire de la surveillance, pour enregistrer une entrevue ou dans les endroits où on s'attend à ce que l'intimité soit respectée. Pour de plus amples renseignements sur les caméras et leur utilisation par la GRC, veuillez consulter ces pages :
- Projet de caméras d'intervention
- Manuel des opérations - chapitre 25.5. Caméra d'intervention
- Section « réponses aux questions »
Les caméras sont un moyen indépendant, impartial et objectif de documenter les interactions entre les membres du public et les policiers, renforçant ainsi le lien de confiance entre la police et les collectivités qu'elle sert. Elles aideront également à résoudre les plaintes du public et à améliorer la collecte de preuves au cours des enquêtes.