Hier, le caporal Jeremy Bastarache de la GRC au Nouveau‑Brunswick a été accusé d'avoir pris des arrangements avec une personne, par un moyen de télécommunication, en vue de commettre une infraction sexuelle avec une personne qu'il croyait âgée de moins de 16 ans, une infraction prévue à la Partie V du Code criminel du Canada.
La GRC au Nouveau-Brunswick prend très au sérieux toutes les allégations faites à l'encontre de ses membres et, dès la découverte de cette information, elle a confié l'enquête à l'Équipe d'intervention en cas d'incident grave (EIIG).
L'EIIG a appuyé l'enquête criminelle de la GRC en supervisant l'expertise de nos services de police spécialisés, comme le Groupe intégré de lutte contre l'exploitation des enfants et les Services de criminalistique numérique. L'EIIG supervisera ces travaux pendant toute la durée de l'enquête.
Ce type d'enquête est extrêmement difficile pour les victimes, les membres du public et les membres de la GRC qui travaillent sans relâche tous les jours pour protéger le public.
Même si nous sommes déterminés à faire preuve de transparence, il faut absolument respecter les procédures d'enquête et juridiques afin de garantir que l'enquête se déroule de manière exhaustive et rigoureuse.
Le membre concerné a comparu en cour aujourd'hui, au Nouveau‑Brunswick. Il a été mis en liberté sous condition et suspendu avec solde.
Si un journaliste pose des questions au sujet de l'incident, demandez-lui de communiquer directement avec l'EIIG.