Le 15 février, quand elle a terminé sa formation à la Division Dépôt et que son propre père, Luc Breton, qui était alors sergent d'état-major, lui a remis son insigne, la gendarme Jeannine Breton, a pris la route de Bathurst, pour sa première affectation. C'est là aussi que son père avait commencé sa carrière en 1985.
Elle a même eu la chance de patrouiller avec son père pendant deux quarts de travail lors de son premier été au Détachement de Bathurst.
Depuis ce jour de février, le sergent d'état-major Breton est devenu l'inspecteur Breton, et il a été ravi d'avoir eu l'occasion de travailler aux côtés de sa fille. « Je me souviendrai toujours de ces deux quarts de travail. L'expérience a été fascinante, a déclaré l'inspecteur Breton. Je suis très fier de ma fille, et je pense qu'elle est fière d'elle-même aussi. Cela m'a rappelé plein de bons souvenirs du temps où je patrouillais sur l'autoroute à Bathurst au début de ma carrière. »Le 15 février, quand elle a terminé sa formation à la Division Dépôt et que son propre père, Luc Breton, qui était alors sergent d'état-major, lui a remis son insigne, la gendarme Jeannine Breton, a pris la route de Bathurst, pour sa première affectation. C'est là aussi que son père avait commencé sa carrière en 1985.
Elle a même eu la chance de patrouiller avec son père pendant deux quarts de travail lors de son premier été au Détachement de Bathurst.
Depuis ce jour de février, le sergent d'état-major Breton est devenu l'inspecteur Breton, et il a été ravi d'avoir eu l'occasion de travailler aux côtés de sa fille. « Je me souviendrai toujours de ces deux quarts de travail. L'expérience a été fascinante, a déclaré l'inspecteur Breton. Je suis très fier de ma fille, et je pense qu'elle est fière d'elle-même aussi. Cela m'a rappelé plein de bons souvenirs du temps où je patrouillais sur l'autoroute à Bathurst au début de ma carrière. »